Découvrons le visage caché d’un jeune artiste Tchadien

Découvrons le visage caché d’un jeune artiste Tchadien

Djenguemde Armel, né le 25 février 1997 à Benoye un village voisin de la ville de Moundou dans la région du Logone occidentale province du sud Tchad. De son nom d’État civil Djenguemde Armel, Aliase Armelson DJ, dès l’âge de 8 ans ses parents ont vu en lui de propices particulières, il s’est intéressé aux activités artistiques sans y attendre un moindre peu de lui en plus dans l’art comme toute activité de modeler ou d’affiner sa silhouette à une bonne humeur afin de renforcer sa confiance en soi avec passion, détermination et pleine de fiction artistique.

À ce rythme, il a projeté dans quelque chose qui fasse consensus, avec laquelle tout son entourage est d’accord. Il a su de plus vraiment dans un repère qu’il a plus d’absolu de s’y rattacher pour lui, l’art constitue une forme absolue, ça lui permet de trouver la vérité abstraite par sa façon d’interposer les réalités sociales.

Tout d’abord, il a commencé à se perfectionner a peint des images dans des tablettes qu’on pourrait facilement imaginer à l’instar de la vie actuelle.

À cet effet, en 2017, il a rencontré Black diben, un grand artiste professionnel ayant appris dans l’art pendant quelques années et il a acquis sans tarder avec toute force comme une locomotive d’expression, la voie de l’art et depuis lors, un point de vue extérieur commence à dégager de l’imagination à la réalité.

Au fur et à mesure devient un artiste rappeur ayant triomphé de son premier single en solo devant un grand public, peu après, il a dépeint sa carrière dans la musique au détriment d’un animateur audiovisuel, cinéaste, et arrangeur de sons.

Ainsi, une nouvelle découverte s’ouvre pour lui, particulièrement dans la cinématographie et fut pour la première fois un dramaturge à titre costume dans la réalisation de film court métrage en collaboration avec les artistes théâtrales présentes dans Trouble de voisinage.

Cependant, Djenguemde Armel possède un talent exceptionnel en art,ce jeune artiste Tchadien de 23 ans. La particularité de son travail est de mettre ses talents artistiques au service d’une cause noble.

Ce talentueux jeune réalise plusieurs activités aujourd’hui,il est le promoteur de la plateforme art +235 TV en ligne, aussi Artiste Arrangeur, un artiste rappeur, artiste peintre, un acteur de cinéma également, il joue la guitare et au piano plusieurs autres activités à savoir :
Un arrangeur de sons et spécialiste en montage de vidéos.

 

 
Les œuvres magnifiques de DENIS SASSOU GUEIPEUR, un jeune entrepreneur Tchadien.

Les œuvres magnifiques de DENIS SASSOU GUEIPEUR, un jeune entrepreneur Tchadien.

Ce jeune talentueux, a mis en place les albums personnalisés, bloc-notes (Calepins) de toutes marques (cuir, pagne etc.…), d’un moment à l’autre, seront disponible.

« Les albums photos personnalisés que se soient en cuir ou en pagne de différents formats bientôt disponible. »

« La beauté de l’art Tchadienne… C’est nous » …!

Album photo… « Souvenir d’une vie »…

Nous reviendrons sur nos prochaines publications pour vous faire découvrir d’avantage le visage de ce jeune.

 

Le Tchad pays de Toumaï révèle aussi son « Grand A » après les autres « Grand P » et « Grand M »

Le Tchad pays de Toumaï révèle aussi son « Grand A » après les autres « Grand P » et « Grand M »

Qui est Alias M. Grand A du Tchad ?

De son vrai nom, AMADAÏ MAHAMAT DJIBRINE alias M. Grand A est né le 8 novembre 1987 à N’Djaména (capitale de République du Tchad).

Orphelin de père dès le bas âge, M. Grand A grandi et encadré par sa mère. Après avoir obtenu son Baccalauréat science expérimentale série D en 2008, il a commencé ses études au Cameroun puis à l’université Mohammed 1er Oudja au Maroc ou il a obtenu une Licence fondamentale, option Mines et Carrières.

AMADAÏ MAHAMAT DJIBRINE Alias M est un jeune très actif dans le milieu associatif, également entrepreneur avec plusieurs expériences acquises dans le Business Startup, l’entrepreneuriat, l’analyse d’enjeux et les actions du développement durable puis récemment en création et gestion des microprojets.

Pour son attachement à œuvrer dans la vie associative pour sa communauté, il est membre actif du Réseau des Jeunes pour le Développement et le Leadership au Tchad (RJDLT) et bien autres organisations.

A cet effet, du haut de ses 1,20m, son nanisme ne lui laisse pas indiffèrent des autres. Passionné de la comédie, il se voit une carrière dans le cinéma pour véhiculer la culture de la paix et de cohésion sociale et du vivre ensemble. Alias M. Grand A est également célibataire. Quelle bonne nouvelle ?

Steve Biko, la conscience noire

Steve Biko, la conscience noire

Steve Biko, la conscience noire
Le 12 septembre 1977, à 31 ans, Steve Biko mourait, seul, dans une cellule de la prison centrale de Pretoria (Afrique du Sud), d’une lésion cérébrale. La photo de son cadavre gisant à même le sol, nu, couvert de plaies et d’ecchymoses fit le tour du monde grâce au journaliste britannique qui fut aussi son ami, Donald Woods, auteur de sa biographie la plus complète (1979). Arrêté le 21 août à Port Elisabeth, près de sa ville natale où il était assigné à résidence après des mesures de bannissement, Biko fut amené dans les locaux de la police de sécurité de la ville et interrogé à son quartier général. Roué de coups à plusieurs reprises, enchaîné et totalement dévêtu, il était dans un état déjà très grave le 7 septembre, reconnaîtront plus tard les autorités dans un rapport qui accuse les médecins de n’avoir pas décelé les « lésions neurologiques » causées par « une chute accidentelle »… Il fallut attendre le 11 septembre pour que l’on recommande son transfert immédiat à l’hôpital. La police choisit celui de Pretoria, 1 200 km plus loin.
 
Dans un état comateux, Steve Biko fut transporté jusqu’à la capitale dans l’arrière d’une jeep, toujours nu, à même le plancher. Son décès, pour lequel les autorités donnèrent jusqu’à huit versions différentes, fut constaté le lendemain.
Le leader charismatique du mouvement de la Conscience noire devint alors le symbole de la résistance contre l’apartheid, un des grands martyrs d’Afrique du Sud. Sa renommée atteint l’Occident — où chansons et film à succès lui furent consacrés — dépassant largement celle de Nelson Mandela à l’époque. Les liens de ce dernier avec le Congrès national africain (ANC), organisation taxée de « marxiste », voire de « pro-soviétique », avaient considérablement réduit, guerre froide oblige, les cercles qui relayaient en Europe et plus encore aux Etats-Unis la campagne de l’ANC pour la libération de celui qui allait devenir une icône mondiale à la fin des années 1980.
 
Né en 1946 à Ginsberg, une township noire près de King William’s Town (Eastern Cape), Stephen Bantu Biko grandit dans une atmosphère de révolte : son père Mzimkhayi fut tué par un policier blanc lors d’un rassemblement militant le 12 septembre 1951. Après une scolarité marquée par des actes de défiance et d’insoumission qui lui valurent d’être expulsé du secondaire, Biko fit ses premières armes politiques à l’université de Durban, où il put s’inscrire dans la section « non européenne » de la faculté de médecine. Actif dans un premier temps au sein du syndicat des étudiants crée par les Blancs libéraux, l’Union nationale des étudiants sud-africains (National Union of South African Students, Nusas), Biko décida en 1969 de fonder, avec d’autres étudiants noirs, l’Organisation des étudiants sud-africains (South African Student Organisation, SASO), dont il prit la tête. La critique du paternalisme blanc, la question de l’émancipation des noirs et de leur prise de conscience, sont désormais au cœur de son discours.
 
Fortement inspirée par le mouvement noir non violent des Etats-Unis et comme lui influencé par la culture chrétienne, la Conscience noire — concept élaboré en 1967 par le Mouvement de l’Université chrétienne, groupe non racial et œcuménique — prend alors son essor, et conquiert surtout un public de jeunes, plus radicaux que leurs camarades de l’ANC dont la lecture non exclusivement raciale du conflit leur paraissait une prédisposition au compromis. Pourtant, ce qui était devenu le Mouvement de la conscience noire (Black Consciousness Movement, BCM) maintint sa posture non violente. Et choisit de transcender le champ politique direct, en agissant sur le terrain au travers de projets éducatifs, culturels ou sociaux. Ainsi faisant, il mena en réalité une puissante campagne de politisation : « Le principe de base de la Conscience noire est le rejet par l’homme noir du système de valeurs qui veut faire de lui un étranger dans son propre pays et qui détruit jusqu’à sa dignité humaine », affirmait Biko en 1976. Plus tôt, dans un discours à Cape Town en 1971, il avait lancé : « L’arme la plus puissante dans les mains des oppresseurs, est la mentalité des opprimés ! » « Pour commencer, avait-il expliqué à un journaliste britannique, il faut que les Blancs réalisent qu’ils sont seulement humains, pas supérieurs. De même les Noirs doivent réaliser qu’ils sont aussi humains, pas inférieurs… »
 
Cependant, et contrairement au PAC dont la doctrine de l’« Africanism » insistait sur la primauté des valeurs traditionnelles africaines, la création d’un Etat centré sur l’identité africaine, ou encore la mobilisation des Africains en tant que nation (Azania), le BCM de Biko envisageait, à terme, un Etat où la majorité noire aurait certes assumé le rôle dirigeant qui lui revient par la démographie et l’histoire, mais dans un contexte politique et institutionnel non racial. Lucide. Comme lorsque, trois mois avant sa mort, il déclarait : « Soit tu es vivant et fier, soit tu es mort, et quand tu es mort, tu ne peux plus t’en soucier. Ta façon de mourir peut elle-même être une chose politique (…) car si je n’arrive pas dans la vie à soulever la montagne de l’apartheid, l’horreur de la mort y parviendra sûrement. »
Son lâche assassinat suscita une telle indignation internationale que le Conseil de sécurité procéda enfin au renforcement de l’embargo sur les armes décrété en 1963, qu’il avait refusé après la répression sanglante de la révolte de Soweto une année auparavant. Comme le déclara Mandela lors de son élection en 1994 : « Biko a été le premier clou dans le cercueil de l’apartheid. »
Nous décollons au Cameroun pour découvrir le visage d’une jeune entrepreneuse

Nous décollons au Cameroun pour découvrir le visage d’une jeune entrepreneuse

PEMBOURA TAPCHE KHADIJE PAMELA, née le 18 juin 1995 à Douala au Cameroun🇨🇲.

Elle a fait ses études dès le bas âge en section Anglophone où elle a obtenu son GCE ADVANCED LEVEL (Baccalauréat Anglophone) en 2015.

Elle a poursuivi ses études supérieures à Cambridge Institute of Professional Training à Douala où elle a suivi une formation en SHIPPING ADMINISTRATION. 

En 2017, elle a décroché son HND (Higher National Diplôma) en SHIPPING ADMINISTRATION, après son obtention du HND, ensuite elle s’est inscrite à nouveau pour décrocher une Licence en cette même filière.

Ce fut en mai 2017, qu’elle s’est lancé dans l’entrepreneuriat en tant que partenaire avec l’entreprise de son meilleur ami qui est allé étudier en Chine, elle a représenté l’entreprise au Cameroun et lui en Chine.

Par ailleurs, les affaires ont marché si bien qu’ils ont cru être infaillibles. Mais en novembre 2017 ils ont eu d’énormes difficultés car les choses sont allées hors de leur contrôle.

De ce fait, c’était tellement pénible et un moment de calvaire pour les deux jeunes, qu’ils ont perdu tout ce qu’ils ont bâti mais il leur restait deux choses, eux et les problèmes.

C’est pourquoi, après avoir qu’elle a compris l’importance et l’utilité du monde des affaires malgré qu’elle n’été pas formée dans le domaine, elle a décidé de suivre une conférence à Cotonou en mai 2018 d’où elle est revenue avec une nouvelle idée, qui est le concept de l’entrepreneuriat et des affaires. Son seul objectif est de devenir une professionnelle en entrepreneuriat et être indépendante financièrement et moralement.

En effet, chose promise, chose due, en cette même période de 2018, elle a décidé de Créer sa propre entreprise « BUSINESS BY KHADI » qui faisait dans la vente en ligne. Ceci allait si bien mais demandait assez d’énergie et tout était centré sur elle, ce qui lui a coûté l’échec. 

Depuis ce jour, elle s’est intéressée dans le domaine de l’entrepreneuriat Web professionnel, la santé Bio, Fitness et vie meilleure ou elle a acquis plusieurs formations. 

D’où en février 2019 elle a mis sur pied une autre entreprise KHADI BIOCARE, qui ne cesse d’augmenter de la valeur ajoutée à la vie des personnes.

Aujourd’hui, Pemboura Tapche Khadije Pamela est professionnelle, Entrepreneure-Conférencière, Coach en Santé et Bien-être, Distributrice Indépendante de yeekong International. Elle donne des formations et conférences partout en Afrique.

A 26 ans, Charlette N’Gussan ,1ère femme remporte le prix africain pour l’innovation en ingénierie

A 26 ans, Charlette N’Gussan ,1ère femme remporte le prix africain pour l’innovation en ingénierie

Charlette N’Gussan, 26ans, 1ère femme à remporter le prix africain pour l’innovation en ingénierie. Une entrepreneure technologique ghanéenne a remporté le prestigieux prix Afrique 2020 de la Royal Academy of Engineering pour l’innovation en ingénierie. L’ivoirienne Charlette N’Guessan installée au Gnana est la première femme à remporter le prix de l’Afrique et la première lauréate du Ghana.

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N’Guessan, 26 ans, et son équipe ont développé BACE API, un logiciel qui utilise la reconnaissance faciale et l’intelligence artificielle pour vérifier les identités à distance. Le logiciel peut être intégré dans des applications et des systèmes existants et s’adresse aux institutions financières et à d’autres industries qui s’appuient sur la vérification d’identité lors de la fourniture de services.

Le logiciel BACE API utilise la caméra intégrée d’un téléphone ou d’un ordinateur et ne nécessite pas de matériel spécial, et contrairement aux systèmes mondiaux d’IA, il a été développé spécifiquement pour identifier les Africains.

Bien que le logiciel de reconnaissance faciale ne soit pas nouveau, l’API BACE utilise spécifiquement des images en direct ou de courtes vidéos prises sur les caméras de téléphone pour détecter si l’image est celle d’une personne réelle ou une photo d’une image existante.

N’Guessan remporte le premier prix de 25 000 £ (13.835.790 FCFA). Lors de la cérémonie de remise des prix virtuels qui s’est tenue le 3 septembre 2020. Quatre finalistes ont fait des présentations, avant que les juges du Prix Afrique et un public en direct ne votent pour l’innovation technique la plus prometteuse.

Le prix de l’Afrique pour l’innovation en ingénierie, fondé par la Royal Academy of Engineering au Royaume-Uni en 2014, est le plus grand prix africain dédié à l’innovation en ingénierie et a fait ses preuves dans l’identification des entrepreneurs en ingénierie à succès. Maintenant dans sa sixième année, il soutient les entrepreneurs talentueux d’Afrique subsaharienne avec des innovations en ingénierie, qui abordent les problèmes cruciaux dans leurs communautés d’une manière nouvelle et appropriée.

  • SON LOGICIEL A DÉJÀ FAIT SES PREUVES

N’Guessan et ses co-fondateurs ont développé le logiciel en 2018 après que des recherches qu’ils ont effectuées au cours de leurs études aient révélées que les banques ghanéennes avaient un problème important de fraude d’identité et de cybercriminalité. La recherche a estimé qu’environ 400 millions de dollars soit plus de 200 milliards de FCFA sont dépensés chaque année par les institutions financières ghanéennes pour identifier leurs clients.

En partenariat avec un contrôleur de données qui s’occupe des documents d’identité certifiés délivrés par le gouvernement, BACE API a accès aux passeports ghanéens et à d’autres documents d’identité utiliser lors de ses processus de vérification.

Deux institutions financières utilisent déjà le logiciel pour vérifier l’identité des clients, et le logiciel est en cours de test sur une plate-forme événementielle pour confirmer les inscriptions des participants.

Pendant la pandémie mondiale (Covid-19), l’API BACE est devenue une alternative viable aux processus de vérification en personne, utilisés par la plupart des entreprises, tels que les empreintes digitales ou les apparences personnelles. Les entreprises peuvent désormais authentifier et intégrer des clients nouveaux ou existants sans jamais les rencontrer.

Le mentorat et la formation du Prix de l’Afrique ont aidé l’équipe à se concentrer davantage sur le développement de son entreprise et, depuis sa présélection, l’équipe a défini des stratégies pour améliorer la position de BACE API sur le marché. Ils ont également signé des partenariats clés avec des institutions financières locales, amélioré la précision du modèle et réduit le temps de vérification.

  • Les finalistes

LE PRIX DE L’AFRIQUE DÉDIÉ AUX INNOVATEURS AFRICAINS

James Duddridge, député, ministre de l’Afrique, Royaume-Uni, a déclaré: «Félicitations à tous les participants au prix de l’Afrique de cette année. Le Royaume-Uni est un pôle d’innovation en ingénierie et abrite une richesse de talents et d’expérience entrepreneuriaux. En associant ces talents aux innovateurs africains les plus prometteurs, nous pouvons créer des solutions locales aux défis mondiaux, transformer des vies et améliorer les économies.

Quinze entrepreneurs présélectionnés pour le Prix de l’Afrique, originaires de six pays d’Afrique subsaharienne, ont reçu huit mois de formation et de mentorat, au cours desquels ils ont élaboré leurs plans d’affaires et appris à commercialiser leurs innovations. Le groupe a reçu un encadrement pour communiquer efficacement, se concentrer sur les clients et aborder les investisseurs avec confiance.

Le Prix Afrique relie également la liste restreinte à des individus et des réseaux au Royaume-Uni et à travers l’Afrique qui peuvent accélérer leur développement commercial et technologique – des collègues entrepreneurs et mentors aux investisseurs et fournisseurs potentiels.

Le Prix Afrique soutient les esprits les plus brillants à travers le continent, les dotant de compétences pour remodeler et repenser leurs activités.

«Nous sommes très fiers que Charlette N’Guessan et son équipe remportent ce prix», a déclaré Rebecca Enonchong, juge du Prix de l’Afrique et entrepreneur camerounaise. «Il est essentiel de disposer de technologies comme la reconnaissance faciale basées sur les communautés africaines, et nous sommes convaincus que leur technologie innovante aura des avantages considérables pour le continent.»

Les Trois autres finalistes qui ont remportés des prix

LE PRIX OFFRE DE NOMBREUX AVANTAGES POUR LES LAUREATS

Les trois finalistes, qui reçoivent chacun 10000 £, sont:

Farmz2U, Aisha Raheem du Nigéria – une plateforme numérique qui fournit aux agriculteurs des données agricoles personnalisées pour améliorer leur expérience et leur efficacité.

PapsAI, Dr William Wasswa d’Ouganda – un microscope numérique à faible coût qui accélère le diagnostic de dépistage du cancer du col de l’utérus, et des systèmes pour améliorer la gestion des dossiers des patients.

Remot, David Tusubira d’Ouganda – un système qui gère les réseaux électriques hors réseau en surveillant l’état des panneaux solaires.

«Faire partie du Prix de l’Afrique nous a donné une telle confiance», a déclaré N’Guessan. «Nous nous concentrons sur l’Afrique parce que nous voulons nous assurer que l’API BACE est utilisée par nos employés et fonctionne pour eux. Nous sommes très reconnaissants à l’Académie et avons hâte de porter notre innovation vers de nouveaux sommets. »

À ce jour, les 86 entreprises d’anciens élèves du Prix de l’Afrique ont levé plus de 14 millions de dollars américains en subventions et en fonds propres et ont créé plus de 1500 nouveaux emplois, dont plus de 50% sont destinés aux femmes et une proportion importante aux personnes handicapées et aux jeunes.

Le septième prix africain pour l’innovation en ingénierie est maintenant ouvert. Les individus et les équipes vivant et travaillant en Afrique subsaharienne, et qui ont une innovation d’ingénierie, sont invités à participer. La date limite pour les inscriptions est le 14 septembre 2020.

Source: ROYAL ACADEMY OF ENGINEERING

BIOGRAPHIE s’intéresse cette semaine à AYISSI NGA Joseph-Marie alias JJ DU STYLE

BIOGRAPHIE s’intéresse cette semaine à AYISSI NGA Joseph-Marie alias JJ DU STYLE

AYISSI NGA Joseph-Marie alias JJ DU STYLE est un créateur de vêtements Streets chics de nationalité́ franco camerounaise.

Étant lui-même fils d’un couturier et suivant les traces des pionniers camerounais de la mode comme Imane AYISSI ou encore Martial TAPOLO, il crée « WAZAL » sa ligne de vêtements en 2005.

En 2006, il lance ses premiers modèles qui sont portés par certaines célébrités telles que : SINGUILA, ALPECO, WAYNE BECKFORD, ROMARIC KOFFI et LALCKO.

Sa marque « WAZAL » est un assemblage de WAZA, nom d’un parc naturel au Cameroun et de la lettre L de Lion, animal symbole de ce pays. Le parc naturel inspirant le respect et le lion la puissance.

WAZAL COUTURE exprime un univers fashion sport dans une recherche permanente de matières, styles et créativité́. Dans des mélanges de couleurs comme le noir, l’orange, le bleu, l’écru et divers imprimés, il y ajoute des touches de matières telles que le coton pur, le molleton, le jean, le wax, le milano, le cuir et de la fourrure synthétique sous divers motifs.

Il a suivi une formation de mode à l’école VANESSA RUIZ à Paris et se spécialise dans la création des vestes smoking. La première a ainsi été́ créée en 2013 sous la déclinaison « Braguette Tété ».

En 2013, il fait partie des invités de l’ambassadeur du Cameroun à Paris pour l’exposition de la fête de la jeunesse camerounaise puis à la Fashion Night à l’Elysée Lounge de Paris où il présente ses trois concepts : WazalRock, Braguette Tété et Africafutur.

Ces concepts s’appuient sur des critères qui ont depuis le début symbolisés son parcours : Audace, Respect et Création.

Les coupes Wazal sont futuristes et modernes, suivants les dernières tendances d’aujourd’hui.

Ayissi Nga joseph Marie à été nommé au beffta awards 2016 à Londres.

Il est auteur d’une bande dessinée (en cours de réalisation) « la légende de wazal ».