Une fillette de 13ans a été violée par 3 trois hommes .

Une fillette de 13ans a été violée par 3 trois hommes .

Sila Goz Beida : une fillette de 13ans a été violée par 3 trois hommes qui semblent à priori être hors-la-loi

L’incident s’est déroulé le 11 novembre 2021,m dernier, dans la localité d’Abdi (province du sila ). C’est cette jeune fille mademoiselle K. à peine âgée de 13ans kidnappée puis violée par 3 hommes.

Selon les proches de la victime, les parents de violeurs ont corrompu la justice pour prononcer un non-lieu malgré les preuves irréfutables du rapport médical.

Les violeurs semblent être protégés par les hautes autorités locale.

Les parents de la victime disent avoir subi d’intimidations des autorités administratives et des parents de violeurs. Un proche de la victime a été emprisonné puis libéré en contrepartie d’une somme de 100.000F.

La famille de la victime appelle les ADH et le ministère de la Femme à agir sur le cas de cette jeune fille à l’avenir brisé.

Source : Tchad Dari-info 24I

 

Lancement officiel de la 3ème édition du Festival National des Arts et de la Culture du Tchad ( FESTIVAL DARY)

Lancement officiel de la 3ème édition du Festival National des Arts et de la Culture du Tchad ( FESTIVAL DARY)

Lancement officiel de la 3éme édition du Festival National des Arts et la culture du Tchad (FESTIVAL DARY)

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La 3éme édition du Festival National des Arts et de la Culture du Tchad (FESTIVAL DARY) a été lancée officiellement cet après-midi par la ministre de la Culture et de la Promotion de la Diversité Mme ACHTA DJIBRINE SY. La cérémonie a eu lieu ce 27 décembre 2021 à la place de Nation.

Le festival Dary est un cadre idéal de brassage et de partage, qui réunit aujourd’hui les 23 régions du Tchad, avec toutes cultures et valeurs. Les arts et la culture constituent une dimension fondamentale pour le développement économique et sociale, également un levier pour la promotion de la paix et de vivre ensemble.

Pour la ministre de la Culture et de la Promotion de la Diversité, le Festival Dary est un véritable rendez-vous de la diversité de nos communautés, un hymne au Vivre Ensemble et à l’unité dans la diversité linguistique et culturelle. C’est une tribune dédiée au métissage des peuples, à la reconnaissance et à la valorisation de la dignité des racines humaines.

Dary nous permet non seulement d’être fiers de nos origines, mais aussi, nous rappelle la nécessité de cultiver la complémentarité permettant de transcender nos différences. 

Le concept Dary exprime la confirmation ou la revendication de l’appartenance à la cité de Toumaï. Il dénote du sentiment de responsabilité incombant à chaque jour fils et fille du Tchad de protéger, de conserver et de léguer à la génération future ce riche patrimoine culturel immatériel. C’est un cadre de transmission des valeurs chères à nos ancêtres : Honneur, Dignité, Intégrité, Solidarité et Justice, gage de cohésion sociale.

CRISE AU CONSEIL NATIONAL DES JEUNES (CNJ)

CRISE AU CONSEIL NATIONAL DES JEUNES (CNJ)

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LA VIE d’Abakar Dangaya EST EN DANGER

« Ma propre vie est en danger et certains membres du CNJ. C’est une occasion pour moi à travers votre micro de demander l’intervention du Président du Conseil Militaire de Transition en tant que garant de la paix et de la sécurité des personnes et de leurs biens de bien vouloir intervenir pour pouvoir donc trouver une solution définitive à cette situation. Parce que tel que nous voyons, si nous, on décide de faire également comme ceux qui sont en train de vouloir nous pousser à bout, on risquera d’aller à un affrontement ».

Salam Info : Lors de la rencontre de la jeunesse du G5 Sahel la semaine dernière, vous avez été empêché de prononcer votre discours alors que vous avez été programmé…

Abakar Dangaya : Il faut d’abord noter que c’est une rencontre qui concerne la jeunesse du G5 Sahel dénommée Cadre de Rencontres des Présidents des CNJ et Directeur et Directeurs Généraux et Nationaux de la Jeunesse. C’est une rencontre de routine qui se tient chaque année depuis quatre ans. Et il était donc le tour du Tchad à travers le CNJ de l’organiser. C’est ce que nous avons essayé de le faire ensemble avec le ministère en charge de la Jeunesse. Au-delà de cette rencontre, puisque tous les acteurs concernés de la Jeunesse étaient là, nous avons couplé cette rencontre avec la validation de la politique de la stratégie intégrée de la jeunesse qui est donc un document cadre qui fixe les orientations globales des initiatives et des politiques à mettre en œuvre en faveur de la jeunesse du Sahel. Et lors des déroulés de la cérémonie d’ouverture de la validation de la politique de la stratégie intégrée de la jeunesse, il y avait eu cet incident. On m’avait empêché de prendre la parole alors qu’initialement, mon discours avait été programmé. Ce fut une surprise pour moi qu’on me dise que je n’ai pas droit à la parole alors que la responsabilité que j’assume me donnait ce privilège de dire mon discours. Et ce n’est pas la première fois. Même lors de la validation technique à Bamako au Mali, j’avais eu droit au discours parce le Président de CNJ/Tchad et le Président de la Coordinations des Conseils Nationaux des Pays du G5 Sahel. Donc pour moi, comme pour tout le monde, ce fut une surprise qu’on me dise à la dernière minute que je n’ai pas droit à la parole.

SI: Le ministère de la jeunesse a réagi par rapport à la réaction de quelques jeunes qui pensent que c’est sur instruction du ministre de la jeunesse que cet incident était arrivé. Le ministère de la Jeunesse, dans son communiqué, dit que c’est un accord entre le comité d’organisation et le service de protocole de la primature de réduire le nombre d’intervenants…

C’était des alibis qui n’avaient pas de concordance avec la réalité. Et en toute sincérité, c’était quand-même mal placé pour le ministère de faire une telle communication. C’est vrai, nous sommes humains, les erreurs peuvent venir mais il faut juste s’assumer au lieu de chercher que coûte que coûte à se justifier. En se justifiant, on cherche plutôt à aggraver la situation. Parce que ce qui a été dit n’était vraiment pas la réalité. La réalité, c’est ce qui s’est passé.

SI: Selon vous, quelles peuvent être les vraies raisons de cet incident ?

Seuls ceux qui m’ont empêché de parler connaissent les raisons de cet incident. Au-delà de ma propre personne, je pense que c’est un acharnement contre toute la jeunesse. Et ce n’est pas du tout bien.

SI:Avez-vous des antécédents avec quelques acteurs de la jeunesse ?

Je n’ai aucun antécédent, ni avec un cadre ni avec un responsable du ministère de la jeunesse.

SI:Vous et certains membres de votre équipe avez été victimes d’une agression physique le 21 décembre dernier alors que vous vous prépariez à tenir un point de presse. Une situation grave?

En fait, nous avions programmé une conférence de presse pour faire un petit peu le tour des activités que nous avions programmées au courant de l’année 2021 alors que l’année 2022 s’annonce. Et c’est aussi, parce que bientôt, nous aurions à tenir le forum national de la jeunesse, et après ce forum, le CNJ entend organiser également sa session qui est une rencontre avec tous les représentants. Et comme tel, nous nous sommes fait le devoir de faire un aperçu sur toutes les activités réalisées. C’est en quelque sorte un bilan. Et il y avait une mauvaise lecture de certains acteurs qui pensaient que notre conférence était portée avec l’objectif de dire des choses à l’encontre de telle ou telle personnalité. C’est ce qui nous a donc valu une attaque physique lors de cette conférence de presse. Parce qu’il y a des jeunes que tout le monde connait du milieu de la jeunesse. Ils sont quatre qui ont été payé au frais du contribuable pour pouvoir donc aller mobiliser des loubards au quartier. Et une dizaine de loubards a été mobilisée pour nous attaquer. Ils nous ont attaqués par des armes blanches. N’eut été l’intervention des agents de sécurité du CEFOD et quelques présences de nos propres sécurités pour pouvoir donc nous protéger, on se serait donc fait lécher par des armes blanches par ces personnes. Heureusement, nous nous en sommes sortis indemne. Mais pas totalement indemne parce qu’il y a eu des blessures légères sur quelques membres lors de cette conférence. A l’heure où je vous parle, ma propre vie est en danger et certains membres du CNJ. C’est une occasion pour moi à travers votre micro de demander l’intervention du Président du Conseil Militaire de Transition en tant que garant de la paix et de la sécurité des personnes et de leurs biens de bien vouloir intervenir pour pouvoir donc trouver une solution définitive à cette situation. Parce que tel que nous voyons, si nous, on décide de faire également comme ceux qui sont en train de vouloir nous pousser à bout, on risquera d’aller à un affrontement. La transition actuelle a besoin de tous les soutiens. La jeunesse en tant que partie prenante de toutes les actions du gouvernement, la jeunesse en tant que bénéficiaire de toutes les actions du gouvernement, la jeunesse en tant que frange de la population majoritaire, dans le soutien à une transition apaisée. C’est ce que nous avons toujours fait depuis la mise en place de la Transition. Et là, quelques individus sont en train de mettre en mal les efforts et les démarches de la jeunesse d’accompagner la Transition. Envoyer les gens pour aller s’attaquer à leur propres confrères ou à d’autres jeunes, je pense que cela devrait interpeller le plus haut niveau administratif pour que des solutions soient trouvées ?

Pensez-vous avoir la possibilité d’organiser les activités en vue dont vous venez de parler ?

Nous organiserons la session, nous organiserons toutes les activités. Le CNJ a plusieurs instances. La plus grande instance du CNJ c’est le congrès. Après le congrès, il y a la session, il y a le bureau exécutif, il y a les coordinations provinciales, il y a les cellules départementales et communales. Ces trois ou quatre personnes ne représentent absolument rien en dehors de leurs propres personnes. Et ce sont les gens connus par leurs pratiques malsaines qui polluent le milieu de la Jeunesse que vous tous vous connaissez. Ce n’est pas une déclaration au bout d’une minute qui va empêcher toute la jeunesse de mener ses activités.

SI: Vous pensez prendre le contrôle de la sécurité lors de vos activités en vue ?

L’Etat garantie la sécurité pour tous les citoyens. Mais des individus véreux, avec pour objectif de mettre en mal la responsabilité de l’Etat à pouvoir garantir la sécurité, je pense que l’Etat va pouvoir s’en occuper tout simplement ?

SI: Craignez-vous perdre votre poste actuel au CNJ ?

Je ne crains pas rien. Avant d’être président du CNJ, j’étais un citoyen, un jeune cadre. Après le CNJ, je serai toujours un jeune cadre et je servirai loyalement mon pays comme je l’ai toujours fait et je le fais actuellement. Je crains plutôt ma vie et celle de mes collègues du bureau. Le poste du CNJ, c’est un poste électif. Au prochain congrès, il y aura un autre bureau, un autre président. Et cela a toujours été comme ça dans les organisations et les institutions. Je crains plutôt ma vie. Je n’ai non seulement été menacé de mort mais cette menace de mort a été mise en exécution lors de la conférence de presse.

SI: Comment faites-vous avec les blessés ?

Nous sommes en train de nous en occuper et je pense que des démarches sont en vue pour essayer de voir comment les autorités peuvent intervenir pour arrêter en tout cas ces désordres que les individus à des objectifs inavoués sont en train d’organiser.

Interview réalisée par Djeram Firmin

Source : SALAM Info

 

 

Mian Hingam Sauria dit avoir été empoisonné!

Mian Hingam Sauria dit avoir été empoisonné!

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L’homme d’affaires tchadien Mian Hingam Sauria dit avoir été empoisonné. « Ses chances de survie sont minimes », dit-il.

« J’ai le regret de vous dire qu’on m’a empoisonné depuis le Tchad et toutes les tentatives pourque je conserve la vie ont été vaines.

Je connais les auteurs et les commanditaires.

J’ai fait au moins 3 vidéos que je mettrai en ligne.

Mon estomac est beaucoup affecté, je passe par des moments extrêmement compliqués. J’attends des examens de sang de manière approfondie d’ici le 06 janvier 2021mais malheureusement pour passer une journée c’est extrêmement compliqué. Chaque jour qui passe est un véritable combat pour moi. Les anti-douleurs et les liqueurs en passant par le vin pour ne serait-ce soulager mon ventre sont presque nuls déjà car rien ne marche à tout coup. J’ai perdu l’espoir de conserver la vie. Depuis hier nuit, je rejette tout ce que je mange, soit par vomissements ou par diarrhée aiguë. Beaucoup de médecin au Tchad et au Cameroun ont tenté en vain de me sauver. Des crises de douleurs atroces m’ont mis dans une situation où je dois me promener avec des antibiotiques, et de fois des injections à chaque 6 heures quand ça commence et cela a joué énormément sur mes reins.

Merci à vous qui m’avez aimé qui m’avez encouragé pendant mon parcours. Vous qui m’avez combattu avec énergie et ingénieusite beaucoup d’entre vous ne pourra pas s’en sortir.

Je continue de garder l’espoir même si ce n’est pas permis dans mon cas d’espérer. »

Mian Hingam Sauria Mian Hingam Sauria Officiel

Il s’appelle NASSAR,un artiste peintre et dessinateur

Il s’appelle NASSAR,un artiste peintre et dessinateur

Il s’appelle NASSAR, est un artiste peintre et dessinateur, reconnu par son talent et ses œuvres. Il a commencé à peindre dès son bas âge, était formé par son papa. Ses œuvres sont le fruit d’un mélange de langage artistique traditionnel et de rigueur moderne et inventive.

Il a déjà exposé ses œuvres plusieurs fois, notamment à l’Institut Français du Tchad (IFT) et bien d’autres institutions.

À cet effet, il est en plein préparatifs pour une prochaine exposition dans les jours avenirs.