Les réseaux sociaux sont-ils des outils pour vulgariser la paix et le vivre ensemble au Tchad?

Les réseaux sociaux sont-ils des outils pour vulgariser la paix et le vivre ensemble au Tchad?

Les réseaux sociaux sont des plateformes en ligne qui permettent aux Tchadiens de se connecter, de communiquer et de partager des informations entre eux et avec d’autres personnes à travers le monde. Les exemples de réseaux sociaux populaires : Facebook, Tik Tok, Twitter, Instagram, WhatsApp et Snapchat …

Ils sont devenus de nos jours des outils efficaces pour vulgariser la paix et le vivre ensemble au Tchad, mais cela dépend de la manière dont les Tchadiens les utilisent.

Ils permettent de diffuser des messages positifs et constructifs, de sensibiliser le peuple Tchadien à la nécessité de vivre ensemble dans la paix et dans la tranquillité,  de promouvoir la tolérance et le respect mutuel entre les différentes communautés tchadiennes. Ils sont sans doute disposés pour organiser des activités pacifiques, pour promouvoir les initiatives de paix et des projets de développement communautaire, pour mobiliser les citoyens pour des actions collectives en faveur de la paix et la cohésion sociale. Par exemple des manifestations pacifiques ou des campagnes de sensibilisation.

Il faut noter que, ces derniers temps, les réseaux sociaux sont utilisés par les Tchadiens et beaucoup plus par les jeunes pour propager des messages de haine, des injures, de violence et de division, ce qui peut aggraver les conflits et compromettre les efforts de paix. Ils contribuent aussi à la propagation de fausses informations et de rumeurs, qui peuvent exacerber les tensions entre les communautés et conduire à des violences entre les tchadiens.

Il est important que les Tchadiens, utilisateurs des réseaux sociaux prennent conscience de l’utilisation négative de ces derniers.

Le gouvernement doit encadrer et réguler les réseaux sociaux pour éviter les dérives en ligne qui peuvent nuire à la cohésion sociale entre les Tchadiens et à la stabilité du pays.

 

 

 



LYGUY, l’étoile montante de la musique tchadienne

Avec plus d’un million de vues sur son tube « Dieu ne dort pas », véritable performance pour un artiste évoluant au Tchad, près de 40 000 followers sur Facebook et son dernier concert, le 31 mars dernier, sur la grande scène du jardin de l’Institut Français du Tchad (IFT), LYGUY(link is external) confirme sa place parmi les grands noms de la musique tchadienne.

La date du 31 mars sur la grande scène de l’IFT(link is external) a été, dès le début de l’année, un sujet chaud pour l’équipe de l’artiste. Une appréhension née de la coutume qui voudrait que les jeunes artistes commencent d’abord par un apéro-concert afin de prévenir la mauvaise surprise d’un public clairsemé. Le staff, pour qui LYGUY n’est plus à ce niveau, finit par obtenir la grande scène. Prévu pour le 20 décembre, le concert est reporté au 31 mars, et voici que l’on annonce le début du ramadan en fin mars. Mais le directeur de l’IFT rassure : les concerts sur la grande scène commencent longtemps après l’Iftar et pour LYGUY, les mélomanes seront présents. Le concert aura finalement lieu(link is external). Avec succès.

LYGUY qui vient de célébrer ses 26 ans le 5 mars dernier a d’abord commencé la musique en interprétant des tubes à succès d’artistes connus. Chanter ces interprétations dans sa langue maternelle lui a permis de conquérir rapidement le cœur du public de Moundou, la ville où il a grandi. De showcase en showcase dans les villes du sud du Tchad, les exploits de l’artiste retentiront très vite à N’Djamena, la capitale.

C’est donc naturellement et par l’occasion d’un album passé presqu’inaperçu – produit par un label local – qu’il décide de s’installer à N’Djamena où l’activité artistique est dynamique malgré l’état embryonnaire de son industrie. La conquête de N’Djamena commence concrètement en début juin 2022 avec la publication du titre « Dieu ne dort pas ».

De sa belle voix et surfant sur la foi religieuse, LYGUY prêche l’espoir d’un avenir meilleur, la réussite sociale dans un pays où les journées désœuvrées s’accumulent pour la grande majorité des jeunes. Deux semaines après sa publication, la vidéo affiche un million de vues au compteur sur YouTube. Le caractère inédit de cette performance au Tchad suscite de la controverse. Mais la qualité du travail « ne ment pas ». Les performances de l’artiste non plus. Décembre dernier, il rafle 4 trophées aux DTV Awards, créant un écart d’au moins 2 trophées avec les autres nominés. Et LYGUY ne dort pas, enchainant différentes prestations, tantôt pour apporter sa contribution à un festival, tantôt pour soutenir un autre artiste en concert. Jusqu’à ce 31 mars à l’Institut Français du Tchad.

Jeune artiste adoubé par ses pairs et tous les mélomanes qui ont écouté au moins une fois sa musique, LYGUY est une figure de proue d’une jeunesse qui a soif de victoires et qui travaille à exporter la musique tchadienne à partir du Tchad. Une participation à des rencontres régionales et internationales pourrait enrichir sa musique et lui servir de tremplin pour une carrière d’une plus grande envergure. En attendant, il est activement suivi et régulièrement présent sur les réseaux sociaux, notamment Facebook où ses publications quotidiennes cumulent en moyenne 2 500 vues.

Source: https://www.musicinafrica.net/fr/magazine/lyguy-letoile-montante-de-la-musique-tchadienne

12 femmes inspirantes de la filière musicale en Afrique francophone

Music in Africa qui plaide pour la parité dans la filière musicale africaine qui a longtemps été dominée par les hommes, vous propose à la clôture de ce mois de mars, les portraits de 12 femmes francophones inspirantes, qui contribuent à travers leurs actions et leur engagement, au développement des musiques du continent.

La filière musicale africaine en plein développement, a bien compris qu’il fallait se débarrasser des vieilles logiques sexistes pour permettre aux femmes de contribuer avec leurs talents et leurs passions, à l’avancée des choses.

On peut donc le dire avec certitude et fierté, derrière l’expansion mondiale des musiques africaines observée ces dernières décennies, se cachent de grandes dames !

Mais qui sont-elles ? Que font-elles ?

Music in Africa a parcouru la région francophone du continent, pour vous en présenter 12 (il y en a plus), qui font bouger les choses grâce à leur activisme et leur forte implication professionnelle.

Aisha Dème – Sénégal 

Il y a moins de trois mois, Aisha Dème sortait le livre Dakar Nid d’artistes chez Malika Éditions, pour attirer les regards du monde vers une scène culturelle sénégalaise en pleine effervescence. Promouvoir les créatifs de son continent – c’est ce que l’activiste sénégalaise fait depuis de nombreuses années…

Difficile de lister ici tous les accomplissements d’Aisha, mais l’essentiel à retenir, c’est qu’elle est la co‐fondatrice d’Agendakar.com, une des toutes premières plateformes web sénégalaises, entièrement consacrées à la promotion des arts et cultures ; elle a également fait partie du premier comité de gestion de la Fondation Music In Africa, mis en place en 2012. En outre, Aisha a travaillé en étroite collaboration avec le comité formation et contenu de la Fondation créé en 2015.

Ghita Khaldi – Maroc

Quelque part dans le Septentrion du continent africain, précisément au Royaume du Maroc, il y a une femme dont le parcours inspire : Ghita Khaldi.

Gestionnaire de projets culturels, fondatrice et présidente de l’association marocaine Afrikayna, Ghita promeut l’échange interculturel, le développement et la coopération en Afrique.

À travers son association, elle a initié le lancement du premier fonds marocain de mobilité pour les artistes en Afrique, appelé Africa Art Lines. Ghita est également responsable de la coordination et de la production du Festival L’Boulevard à Casablanca et du Festival Jidar-toiles de rue à Rabat pour le compte de l’EAC-L’Boulvart.

Fatou Kandé Senghor – Sénégal

Nous prenons la direction du Sénégal de nouveau pour le 3e profil de ce focus dédié aux femmes inspirantes de la filière musicale en Afrique francophone, pour parler cette fois de Fatou Kandé Senghor

Réalisatrice et documentariste sénégalaise, Fatou est surtout une grande passionnée de cultures urbaines. Dans une interview accordée à Music in Africa en 2021, elle a déclaré, et à juste titre, qu’elle était de la « fabrique du hip hop sénégalais ».

En effet, cette professionnelle dévouée a consacré plus de 2 décennies de sa vie à accompagner et soutenir la scène urbaine de son pays – un engagement matérialisé par son livre Wala Bok, une histoire orale du hip-hop au Sénégal paru en 2015, et le feuilleton Walabok qu’elle produit et dévoile au grand public en 2021.

Netoua Ernestine – Tchad

Au pays de Toumaï – Netoua Ernestine se bat telle une amazone pour le développement d’un secteur culturel qui est encore loin d’être la priorité des autorités.

Elle se propose comme une un modèle de leadership féminin audacieux, conscient et résilient, avec une forte passion pour le social, la cause de la femme, de la jeunesse et de la culture. 

Directrice artistique du Festival Koura Gosso, qui est une plateforme unique d’échange entre les musiciens en herbe, les promoteurs et les journalistes au Tchad, elle est aussi la promotrice du salon Woman Entrepreneurship Days et du Woman Music’art, un des rares salons de femmes exclusivement dédié à l’entrepreneuriat digital et culturel au Tchad. 

Esther Diane Naah – Cameroun

Esther Diane Naah, affectueusement appelée Esta, fait un peu de tout : production exécutive, direction artistique, relations publiques, social media management, consulting…

Créative au parcours atypique, elle fait des études en économie et en comptabilité jusqu’en 2011, avant de revenir à la musique en 2013. Cette année là, elle crée une plateforme de promotion musicale nommée Mboa Urban et produit la première MboaTape, une mixtape 100% musique camerounaise disponible en téléchargement en ligne. 

En 2020, Esta succède à Pit Baccardi à la tête du label mythique Empire Company et depuis 2021, avec l’Agence Imperial, elle a à sa charge la production exécutive de nombreux projets pour Universal Music Africa sur le territoire Cameroun, notamment pour des artistes tels que Charlotte DipandaCysoul ou encore Locko, dont elle deviendra le manager. En 2022, Esta crée son propre label Rue Joss.

Mamie Ilela – RD Congo

C’est une référence de la chronique musicale en République Démocratique du Congo !

Journaliste culturelle et chroniqueuse de musique à la Radio Télévision Nationale Congolaise (RTNC), Mamie Ilela a à son actif plus de 20 ans de carrière en tant que présentatrice télé. Son parcours professionnel marqué par un travail de qualité, fait d’elle une femme inspirante en RDC, mais aussi à travers l’Afrique entière.

Elle a été récemment promue directrice des informations en langues à la chaîne nationale. 

Jocelyne Muhutu-Remy – Rwanda

Jocelyne Muhutu-Remy a pris ses fonctions en tant que managing director de Spotify pour l’Afrique subsaharienne depuis novembre 2021. Avant cela, elle a été responsable des partenariats stratégiques avec les médias en Afrique Subsaharienne de META (ancien Facebook).

Elle a également occupé diverses fonctions chez Disney, Viacom et Thomson Reuters, apportant des programmes de divertissement, des chaînes de télévision et des informations internationales aux plateformes médiatiques du continent. Elle a commencé sa carrière en tant que journaliste, principalement à Reuters.

Jocelyne a obtenu une maîtrise en relations internationales à l’Institut national des langues et civilisations orientales (Inalco) de l’université de la Sorbonne, en France.

Guylaine Cléry – Côte d’Ivoire

Véritable passionnée de musique, Guylaine Cléry a obtenu sa licence d’agent artistique en 1996. Elle crée la même année la Société CGA Management, une agence artistique consacrée aux artistes afro-caribéens, afin de professionnaliser davantage le milieu et de promouvoir le patrimoine culturel du peuple noir à l’échelle internationale.

D’origine française, Guylaine a œuvré dans plusieurs pays et plus particulièrement en  Côte d’Ivoire, démontrant ainsi son intérêt pour l’industrie musicale africaine

En 2018, elle rejoint Universal Music Group en endossant la fonction de directrice Live & Event. En 2023, elle est directrice de Virgin Music Africa, un service de distribution de Universal Music Group dédié aux artistes et labels indépendants du continent.

Tatapong Beyala – Cameroun

Tatapong Beyala est une jeune scénariste, productrice vidéo et réalisatrice du Cameroun. 

Avec pour ambition de favoriser l’émancipation et l’autonomie financière des femmes à travers l’art, elle débute sa carrière professionnelle en 2009, avec une équipe de photographie appelée G NIKA DESIGN, qui forme des filles à la prise d’images.

Plus tard, elle se développe et fonde « The Gurl Boss Productions », un label tenu par une équipe féminine, qui lui permet de travailler avec plusieurs artistes tels que Jovi, Coco ArgentéeDj ArafatKo-C, Mimie et bien d’autres.

Nathalie Mefe – Cameroun

Nathalie Mefe est co-fondatrice d’Escale Bantoo, Salon International des voix de Fame qui est un rendez-vous professionnel dédié aux chanteuses africaines depuis 2017. Outre les formations et panels enrichissants qui permettent aux jeunes de mieux comprendre le secteur musical,  Nathalie Mefe directrice artistique du salon et son compagnon Tony Mefe, coordonnateur général, offrent une vraie chance aux pépites du Cameroun de se produire sur une scène internationale, devant des professionnels venus de partout.

Ce salon est un vrai coup de boost à la professionnalisation du secteur musical au Cameroun. 

Gloria Fataki – RD Congo

Gloria Fataki est la Directrice Générale de Trace Congo. Trace Kitoko est la chaîne de musique la plus suivie en RDC. Tous les jours, Gloria pose des actions qui contribuent à mettre en place un climat favorable d’échanges entre Trace Congo et les artistes de la région. 

Parmi ses plus belles réalisations en tant que DG de Trace Congo, Gloria Fataki compte la promotion et la concrétisation du projet Trace Academia (application d’apprentissage en ligne gratuite qui offre des cours et des certificats consacrés aux métiers, à l’entrepreneuriat et aux compétences non techniques) en RDC.

Paola Audrey Ndengue – Cameroun

Paola Audrey est est une entrepreneure française d’origine camerounaise, connue pour son investissement au quotidien dans la promotion et le développement des industries créatives en Afrique, notamment via sa newsletter « Africa Digest » où elle partage des informations ou analyses dans les secteurs de la communication et de l’art de vivre en Afrique. 

Elle fonde son agence en 2017 et compte parmi ses clients Universal Music comme client, pour qui elle effectue des missions de conseil en Relations Publiques et Presse digitales. Elle est également régulièrement sollicitée pour animer des panels sur la mode, la musique ou la communication digitale.

Elle a été sélectionnée en 2019 par le magazine Forbes Africa comme faisant partie des 30 créatifs de moins de 30 ans les plus prometteurs du continent, aux côtés entre autres du chanteur nigérian Burna Boy

Actuellement, elle œuvre dans plusieurs pays dont la Côte d’Ivoire où elle occupe la fonction de Directrice Générale de Boomplay Côte d’Ivoire. Ce bureau est le pont entre l’application de streaming et les artistes francophones d’Afrique.

Source: https://www.musicinafrica.net/fr/magazine/12-femmes-inspirantes-de-la-filiere-musicale-en-afrique-francophone

Internet, quel impact sur l’éducation Tchadienne?

Internet, quel impact sur l’éducation Tchadienne? 

Internet joue un rôle important vu l’avancée de la technologie et l’ère actuelle, il est devenu une pièce inéluctable et indispensable dans notre vie et dans notre éducation. Bien que le taux de pénétration d’internet soit faible au Tchad qui est de 17,9 % d’après un rapport d’usage d’Internet publié en janvier 2023 par l’agence internationale de conseil, Data Reportal. Mais de nos jours, la quasi-majorité des personnes ont accès à internet, surtout les jeunes apprenants passent leur temps sur internet, effectuant des recherches dans leurs cursus universitaire ou scolaire pour l’obtention d’un diplôme et d’autres pour se dévêtirent sur les réseaux sociaux.

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L’impact d’internet a changé complètement le comportement et la vision de voir les choses de certains apprenants dans leurs façons d’interagir avec leurs enseignants et entre eux. Nous constatons que durant ces dernières décennies, l’éducation a tout à fait changé son visage absolu et plus que radical, surtout pendant la révolution du monde numérique et de la nouvelle technologie. Aujourd’hui, on parle de Apen Ai, ChatGBT, et autres qui révolutionnent  le monde numérique, qui sont des outils de recherche efficace.

En effet, internet présente des impacts positifs sur l’éducation de nos jours, il sert à communiquer, s’informer, se divertir.

Les apprenants apprennent des pratiques nouvelles en utilisant un smartphone/ordinateur dans des salles de classes bien équipées, ils peuvent accéder à des ressources numériques d’apprentissages en ligne, faire de recherches avancées en ligne, saisir de nouvelles possibilités en matière d’orientation, offre des opportunités en ligne.

Il faut également noter que le rythme et les méthodes d’enseignement ont changés pour correspondre à la réalité actuelle. Aujourd’hui, on peut être au Tchad et suivre des enseignements à distance à Paris ou à Londres ,participer à des conférences et réunions virtuelles , travailler et partager les documents en ligne. A cela s’ajoutent Les bibliothèques numériques, accessibles grâce à smartphone/ordinateur.

Internet a catégoriquement changé la face de l’éducation, il offre une meilleure productivité aux apprenants et aux enseignants, ainsi qu’équitablement a un impact profond sur la communication entre les apprenants eux-mêmes. Internet ouvre des possibilités des connaissances et ressources éducatives au-delà même de la salle de classe aux enseignants, qui se servent d’outils et matériels en ligne pour mûrir les leçons et les apprenants pour enrichir et renforcer leur capacité intellectuelle.

Pour atténuer les aspects négatifs d’internet, il faut qu’il y ait une éducation numérique de base (insérez internet dans le programme scolaire, l’enseignement numérique, afin que les apprenants comprennent l’importance de ce dernier), sensibiliser, orienter les jeunes sur la nécessité d’internet.

Pour Hamidou Yaya, enseignant dans un établissement à N’Djamena “Le côté négatif de l’internet est que certaines personnes et apprenants l’utilisent dans le mauvais sens (télécharger des vidéos et images pornographiques, créer des faux profits/pages pour insulter des gens, inciter à la haine et parfois ils utilisent pour arnaquer ), qui ne favorise pas le développement intellectuel de ses apprenants . ”

Nodjiwameem Doumdanem, étudiante en deuxième année à l’université HEC-Tchad note que les impacts négatifs sont énormes “y a des gens qui nous harcèlent via internet, beaucoup plus sur le réseau social Facebook, ou un inconnu peut insister pour nous envoyer des messages, des liens de sites etc… Je pense à un moment on était toute victime d’harcèlement digital.”

Quel sera l’avenir de l’éducation sur les 10 années prochaines ?