
Sobdibé Kemaye, née le 29 juillet 1970 à N’Djamena au Tchad. Une femme tchadienne très généreuse, battante et courageuse. Elle a fréquenté l’école primaire de Dembé dès le début de sa création. Ensuite elle a étudié au lycée de Léré l’actuel Lycée Ngarta-Tombalbaye, au collège Évangélique et au Lycée Félix Eboué de N’Djamena où elle a décroché le baccalauréat littéraire en 1992.
Elle a fait ses parcours à l’université de N’Djamena en Lettres Modernes ou elle a obtenu sa Licence en Linguistique.
Sobdibé Kemaye est également enseignante, artiste chanteuse et écrivaine qui en 2018 a écrit son premier livre « Le sexe féminin, une fatalité ? » Publié en 2018 à la maison d’éditions Toumaï.
De ce qui suit, elle a réalisé aussi des clips vidéo et audio qui sont disponibles :
Bii mawoukki (l’eau fraîche), c’est le titre d’une vidéo disponible sur sa chaîne YouTube qui signifie de l’eau fraîche, elle interpelle la femme tchadienne, africaine et du monde entier de devenir comme de l’eau fraîche pour leurs maris. Elle est l’ombre fraîche ou tout vient y reposer. C’est le signe de l’amour.
- Cherté de vie : comme son nom l’indique, toute est chère aux marchés Tchadiens. Elle interpelle l’Etat d’alléger la tache aux femmes, elles souffrent. Elle appelle tout le peuple d’aimer le travail de la terre.
- ZA moundang : elle fait appel au retour aux sources à ses frères et sœurs du peuple Moundang, ces peuples travailleurs, véridiques et exemplaires qu’ils reprennent leurs qualités d’avant.
- Mo syee o : c’est la parole d’une femme à son mari, elle fait comprendre à son mari, s’il fera le tour du monde, épouserait une autre, elle reste et restera toujours la femme de ses enfants, elle ne bouge pas et reste toujours cimentée. Cette chanson est dédiée aux femmes opprimées.
- Intégrité : Fait appel aux peuples tchadiens d’être intègre et honnête. Elle fait appel au vivre ensemble et cohésion sociale entre les filles et fils du Tchad.
- 50 ans du collège évangélique : elle est dédiée à son établissement, le collègue évangélique ou elle a fait trois ans d’études.
Tu me le paieras, la voix d’une femme qui demande à son mari d’avoir laissé dans la solitude mais le payera un jour.
- Zoomak Bigga kattir
Elle est Passionnée de la culture, la musique, la lecture, littérature et les partages d’idées.