Artiste de génie aux multiples talents, écrivain, musicien : (guitariste, chanteur, pianiste, auteur, compositeur), NERBE Donald Ferlin reste aujourd’hui l’un du plus brillant artiste de cette génération qu’il faut découvrir maintenant. Ce jeune tchadien de 32 ans porte l’esthétique de l’art nouveau. Né en 1990 à Mbaibokoum dans le sud Tchad. En 1995 à 2001 il a fait ses études primaires à l’école de Djarabé puis le lycée de Djarabé de 2001 à 2010 l’année à laquelle il a obtenu son baccalauréat. I

Il a poursuivi les études supérieures à l’Université de N’Djamena à la faculté de Langues, Lettres, Arts et communication (FLLAC). Licencié en Lettres Modernes Françaises en 2016 il a continué le second cycle à l’Université Yaoundé 1 actuellement en Master. Très tôt il s’est fait remarquer en gagnant les concours littéraires et se proclame auteur avec des poèmes inédits comme Université de Doré, sublime mystère… Et des manuscrits non connus. Avec la même ténacité il a sillonné les bibliothèques, les milieux x universitaires.

C’est ainsi qu’en 2016 apparaît son premier recueil de poèmes Sous le soleil publier chez Edilivre l’une des maisons d’éditions françaises. Sous le numéro SBN http//www.edilivre.com̷catalog̷product̷view̷id̷756753̷sous-le-soleil-nerbe-donald-ferlin. Cet ouvrage l’ouvre définitivement la porte d’entrer dans le cercle des écrivains tchadiens.                                                                                                           Qui est-il exactement cet homme poète, romancier, musicien… ? Comme si les prémices des deux mondes : littéraire et musical avaient trouvé dès son enfance finalement leur accomplissement en produisant une sorte de duo inébranlable. Dans ses œuvres artistiques il ressort une étrangeté, une place singulière dans l’art en effet, il écrit dans un langage purement musical, mathématique, médical en forgeant dans l’écriture un nouveau des notes, des accords cela donne une image hors du commun. On peut lire à travers sa musique la présence du Jazz postmoderne associé à la sensibilité africaine bref une musique tradi-moderne. On ne peut parler de cet homme sans parler de son alter égo N. Laokolé Nelson basiste avec qui, ils forment une complicité redoutable. Sa rencontre avec Djim radé un magicien de Jazz Tchadien a pu renouveler en lui l’amour du Jazz. Le poète est l’un des fondateurs membres fondateurs d’un club de Jazz intitulé Pakosdjé à Yaoundé en collaboration avec des musiciens tels que M.Jokis, M. Abel ; Issacson.  Ces actions doublées de son talent commencent à conforter sa popularité. L’on attend avec impatience son prochain ouvrage en voie de publication.